Dans cette étude, nous avons essayé de discuter les thèses remontant aux maux de l histoire politique brésilienne à l incomplétude de l expérience de pays libéral. Pour eux, opposé à la lecture que le libéralisme, soit comme une revendication théorique générale, que ce soit en tant que pratique, est né marquée par l ambivalence. Il a été suggéré que ces ambivalences empêchent de terre pour servir le succès ou l échec des expériences particulières. Il a été constaté que les premières décennies du XXe siècle ont connu une mise à jour du mouvement des prétentions libérales aux besoins imposés par les conséquences négatives du capitalisme et les apparitions de nouveaux acteurs. On a vu que le libéralisme politique a produit une nouvelle forme de représentation, liée aux professions et orchestrée par l Etat. A cette orientation de l adaptation aux circonstances, nous avons essayé de comparer la tradition conservatrice de la route du Brésil à la modernité. il a été émis l hypothèse que le Sous-comité du ministère des Affaires étrangères, a imaginé des formes qui contenaient la modernisation conservatrice, la volonté de freinage des corporatismes et en même temps, entrer au Brésil dans la plus grande mise à jour du mouvement du libéralisme par la représentation professionnelle.