Après l expérience personnelle en tant que psychothérapeute à l hôpital universitaire João de Barros dans la ville de Belém do Pará, au service des patients porteurs du VIH / SIDA, le chercheur a rencontré des cas où les patients avaient dans leurs discours des auto-accusations liées au diagnostic. De ces cas, il a d abord été développé une thèse qui traitait de la question du traumatisme rétabli par le diagnostic et de son éventuelle redéfinition. Le projet de thèse est la motivation de poursuivre l enquête sur les subjectivités reconstruites après diagnostic positif du SIDA. À cette fin, la présente étude a examiné la relation entre le sentiment inconscient de culpabilité et un sentiment de honte, comme proposé dans la théorie psychanalytique et la stresse psychologique produite avec la communication de diagnostic positif du VIH / SIDA. Parler du SIDA, de nos jours, est encore difficile. Et parler de la sexualité liée au SIDA est encore plus compliqué. Thème tabou (sexe et mort associés au diagnostic de la maladie), l imaginaire social du SIDA a fait que ces groupes ont été condamnés à payer pour le péché qu est le SIDA, tout au long de leur histoire, ces groupes ont été condamnés à payer pour le péché qu est le SIDA, le plaçant au sein de nos maison. Les préjugés sont encore très forts par rapport aux sujets atteints de la maladie, qui se manifestent par des sentiments de culpabilité et de honte. Ce travail visite ainsi à contribuer au développement des connaissances, liant la théorie et la pratique psychanalytique, en tenant compte de la femme, et de sa place dans la culture et la société, et des penser aux formes de subjectivité inhérente à la question du SIDA. Afin de discuter de l impact du SIDA, nous devons discuter de sexualité. Ce travail est proposé afin de penser aux sentiments de honte et de culpabilité comme détenteurs du lien et du pacte social et comment le diagnostic du SIDA est un événement qui met non seulement en danger la vie du sujet, mais aussi la vie sociale.